L’olive, du bon gras dans son totum

Cette année , au jardin, peu d’olives. C’est souvent le cas une année sur 2. Mais un de nos arbres a donné des olives magnifiques, presque aussi grosses que des prunes (j’exagère à peine 🙂 )

Contrairement à ce qui se dit, la meilleure façon de consommer l’huile de l’olive n’est pas d’extraire l’huile mais de la manger dans son entièreté, avec les fibres, les vitamines et enzymes que la nature avait prévu pour nous. En Provence, nous les préparons ainsi: olives cassées (un article viendra avec la recette ancestrale de mon Papa)

Mais aussi les olives piquées au sel. Ok, il faut faire attention si l’on souffre d’hypertension, mais cela vaut le coup de les gouter. Photo de Mr Albert Brun, (mon père) prise lors de cette préparation. Les olives sont simplement piquées avec une fourchette, mise dans un pot, on y ajoute un peu de sel non raffiné, et on laisse le temps s’occuper de l’amertume. Il faut remuer souvent le pot pour répartir le jus et le sel, afin qu’ils pénètrent bien le fruit. On goute au bout de quelques jours. A chacun de déterminer le moment où l’olive lui conviendra.

Voila celles que j’ai mangées à midi

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