La pissaladière peut devenir un repas santé. Il suffit pour cela de modifier la recette de la pâte. Suivez le guide!
- Il fut un temps où j’étais boulangère…. enfin, femme de boulanger, à notre compte à Nice, le pays de la pissaladière. J’ai récupéré la recette originale des vieux Niçois. Et j’ai bien sûr adapté la pâte pour la rendre compatible avec la physiologie humaine.
- Dans une grande sauteuse, je mets de l’huile d’olive , 5 gros oignons doux coupés en morceaux, des herbes de Provence, 6 anchois. On rajoutera du sel à la fin si besoin.
- Cuire avec un couvercle, à l’étouffée, pendant environ 1h, à feu doux, en remuant de temps en temps.
- Ma pâte a été rapidement faite dans mon robot culinaire (ici thermomix en l’occurrence)
- Préchauffer le four à 160°
- 100g oignons cru
- 50g graines de lin moulues (vert de liant)
- 100g poudre d’amande complète ou blanche
- 50g noix de cajou
- Herbes de Provence
- 15g huile d’olive
- 10g psyllium (vert de liant)
- 1 cc sel marin non raffiné
- Mixer fin tous les ingrédients (sauf l’eau) puis ajouter 200 ml d’eau chaude. Mixer à nouveau pour bien mélanger.
- Étaler la pâte sur du papier sulfurisé avec une spatule.
- Faire cuire à 160° en surveillant.
Je peux réaliser ce fond pour vous, sur commande, à venir retirer à mon domicile à Lançon-Provence 13
- Laisser le disque sur le papier sulfurisé (que vous pouvez recouper autour) pour pouvoir facilement, à la fin, faire glisser la pissaladière sur le plat de service.
- Le faire refroidir sur une grille, le temps que les oignons soient suffisamment cuits.
- Si besoin, enlevez le couvercle pour laisser évaporer un excédent de jus et vérifiez le sel.
- Remettre le disque sur la plaque du four et garnir avec les oignons, disposez les anchois et quelques grosses olives noires (ou les petites de Nice)