Nos intestins sont notre 2 eme cerveau et il est en communication permanente avec le cerveau « d’en haut » par l’intermédiaire du nerf vague, de la circulation sanguine et du microbiote intestinal. Si les intestins sont maltraités par une alimentation inadaptée, le cerveau « d’en haut » ne pourra pas fonctionner de manière optimale. Vous allez pouvoir commencer à vous en occuper correctement désormais. Parfois, en parallèle, il faut aussi soigner un psychisme, souvent malmené depuis l’enfance et/ou de mauvaises habitudes comportementales apprise elles aussi, dès l’enfance, dans notre environnement familial, puis amical, professionnel etc .
Définition de la psychologie positive :
La psychologie s’est principalement intéressée aux vulnérabilités de l’être humain et aux maladies mentales, mais beaucoup moins au bien-être et à l’épanouissement. La psychologie positive vise à rétablir cet équilibre en étudiant les personnes épanouies, résilientes et en bonne santé mentale.
La psychologie positive étudie ce qui donne du sens à notre vie, elle permet de rendre la vie utile, heureuse et épanouie quotidiennement. C’est une discipline, une branche de la psychologie, fondée officiellement en 1998 lors du congrès annuel de l’Association américaine de psychologie par son président de l’époque, Martin E. P. Seligman. Il s’agit donc d’une science qui étudie ce qui rend la vie plus satisfaisante.
Cette nouvelle science de l’esprit et du comportement n’est pas qu’un ensemble de théories ! C’est aussi une science appliquée : à partir des connaissances scientifiques, les chercheurs développent des pratiques et interventions qui permettent d’apprendre à développer ses propres forces et ressources psychologiques. La plasticité cérébrale nous permet de faire évoluer nos comportements, notre perception du monde et le rapport à nos émotions.
Les thèmes de travail sont organisés pour chaque séance, lors d’une progression, sous forme d’exercices concrets et sont les suivants :
Une véritable reprogrammation qui va chercher à éliminer des années de croyances erronées (je suis nul, sans volonté etc) liés le plus souvent à cette maladie, l’addiction, qu’aucune thérapie n’était parvenue à traiter (puisque elle est physiologique et pas psy ! )